Ce vendredi, la station d'Aillon d'où démarre notre rando commence sérieusement à reverdir! "Les parisiens ont
emporté la neige avec eux" disent quelques mauvaises langues! Même pas besoin de crampons.Nous empruntons le
GR, parcourant une étonnante forêt de hêtres (ou fayards). Ici on a choisi de ne pas mélanger les essences
d'arbres: rien que des hêtres, dont les troncs ressemblent à d'immenses allumettes plantées en rangs serrés.
Le sous-bois est sec, bien sec. Plus loin, c'est maintenant une forêt exclusivement plantée d'épicéas que nous
trouvons. Le sentier est "balisé" de panneaux pédagogiques sur la faune et la flore locales.Après une petite
halte près de la ferme de Morbié où la chienne Cosette nous accueille joyeusement, c'est une montée plus soutenue
qui nous attend pour rejoindre le col de la Sciaz où passe la piste rouge? bleue? non, verte bien évidemment car
les plaques de b neige se font rares!
Nous la remontons stoïquement car c'est un peu raide, jusqu'à son sommet le Mont Pelat. Mais son
voisin immédiat, le Mont Morbié, nous fait de l'œil et c'est dans la foulée que nous allons lui rendre visite, le
temps d'une photo.Retour au Mt Pelat pour le picnic au soleil. Quelques légères remontées brumeuses nous
viennent des vallées voisines.Le retour se fait par le même itinéraire, plus confortable que la piste. Une halte
photos s'impose dans le dernier sous-bois où ont poussé de nombreuses nivéoles, fleurs délicates cousines du
perce-neige. Pour la nostalgie, Chantal nous joint une photo d'une de nos randos hivernales au même endroit, du
temps où il y avait de la belle neige (ici en 2017)...
Ce vendredi 3 mars, nous étions 11,
déniv 600m, 10,84km parcourus.
Merci à Chantal pour cette belle journée et pour les photos car oui, elle cumulait les deux "emplois"!
Ce vendredi, la station d'Aillon d'où démarre notre rando commence sérieusement à reverdir! "Les parisiens ontemporté la neige avec eux" disent quelques mauvaises langues! Même pas besoin de crampons.Nous empruntons leGR, parcourant une étonnante forêt de hêtres (ou fayards). Ici on a choisi de ne pas mélanger les essencesd'arbres: rien que des hêtres, dont les troncs ressemblent à d'immenses allumettes plantées en rangs serrés.Le sous-bois est sec, bien sec. Plus loin, c'est maintenant une forêt exclusivement plantée d'épicéas que noustrouvons. Le sentier est "balisé" de panneaux pédagogiques sur la faune et la flore locales.Après une petitehalte près de la ferme de Morbié où la chienne Cosette nous accueille joyeusement, c'est une montée plus soutenuequi nous attend pour rejoindre le col de la Sciaz où passe la piste rouge? bleue? non, verte bien évidemment carles plaques de b neige se font rares!Nous la remontons stoïquement car c'est un peu raide, jusqu'à son sommet le Mont Pelat. Mais sonvoisin immédiat, le Mont Morbié, nous fait de l'œil et c'est dans la foulée que nous allons lui rendre visite, letemps d'une photo.Retour au Mt Pelat pour le picnic au soleil. Quelques légères remontées brumeuses nousviennent des vallées voisines.Le retour se fait par le même itinéraire, plus confortable que la piste. Une haltephotos s'impose dans le dernier sous-bois où ont poussé de nombreuses nivéoles, fleurs délicates cousines duperce-neige. Pour la nostalgie, Chantal nous joint une photo d'une de nos randos hivernales au même endroit, dutemps où il y avait de la belle neige (ici en 2017)...Ce vendredi 3 mars, nous étions 11,déniv 600m, 10,84km parcourus.Merci à Chantal pour cette belle journée et pour les photos car oui, elle cumulait les deux "emplois"!
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